Gabriel Jean-Marie, enseignant à la retraite et militant de longue date de la classe ouvrière, est une figure influente du paysage syndical et politique en Martinique. Âgé de 63 ans, il occupe depuis 2018 le poste de secrétaire général de la CGTM (Confédération générale du travail de la Martinique), la plus puissante organisation syndicale du territoire.
Son engagement en faveur des travailleurs et des salariés en lutte en fait un acteur incontournable de la défense des droits des ouvriers en Martinique.
Un Engagement Politique et Syndical Profond
Militant communiste depuis 1983, Gabriel Jean-Marie fait partie de la direction de Combat Ouvrier, une organisation politique révolutionnaire dédiée à la défense des travailleurs contre l'exploitation capitaliste. Il a été candidat aux élections législatives sous les couleurs de ce mouvement, affirmant avec force une ligne politique claire et un programme centré sur la défense des intérêts de la classe ouvrière.
Lors des élections territoriales de juin 2021, Gabriel Jean-Marie était tête de liste pour Combat Ouvrier, une organisation qui se distingue par sa volonté de se présenter sous ses propres forces, sans alliances ou coalitions.
Ce positionnement reflète une fidélité à ses principes, avec une stratégie ancrée dans la lutte contre le capitalisme et pour les droits des travailleurs.
Un Leadership Syndical Actif
Au sein de la CGTM, Gabriel Jean-Marie est un leader reconnu pour son engagement constant aux côtés des salariés en lutte. Son expérience en tant qu'enseignant lui permet de comprendre profondément les enjeux sociaux et économiques auxquels sont confrontés les travailleurs martiniquais.
Sous sa direction, la CGTM s’est consolidée comme une organisation puissante, jouant un rôle clé dans les négociations et les revendications en faveur des travailleurs du territoire.
Un Combat contre le Capitalisme
Gabriel Jean-Marie se présente comme un travailleur engagé, résolu à défendre les droits de la classe ouvrière dans un contexte économique dominé par le capitalisme. « Nous avons une ligne, un programme et nous sommes les seuls à défendre ce programme », déclare-t-il avec conviction, soulignant l’importance de la lutte pour un changement radical des structures économiques.